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"La leçon de la jupe" (version chaos total)
Ce jour-là, je traînais avec mes potes et quelques filles du quartier, l’ambiance était détendue, on rigolait bien. En passant dans la rue, on croise une fille que je ne connais pas trop, en jupe courte, qui marche seule. Pour faire le malin devant tout le monde, je décide de jouer au con : je me faufile derrière elle, soulève sa jupe d’un coup et lui mets une petite claque sur les fesses en lançant : "Oh, sympa la culotte à fleurs !" Elle sursaute, rouge de honte, et mes potes éclatent de rire pendant que les filles du groupe me chambrent : "T’es un boulet, toi !" La fille me fusille du regard et file sans rien dire. Je me dis que c’est oublié, juste une blague débile.
Mais quelques heures plus tard, je rentre chez moi, et là, c’est le drame. Mon père m’attend dans le salon, l’air furax, avec ma mère à côté qui secoue la tête. Et devinez qui est là ? La fille de tout à l’heure, assise sur le canapé, qui explique tout avec une voix tremblante. "Il m’a humiliée devant tout le monde…" Mon père me fixe, les bras croisés : "Alors comme ça, tu t’amuses à relever la jupe des filles et à les humilier ? Tu trouves ça drôle ? Je vais te montrer, moi, ce que c’est qu’une humiliation."
Je bredouille un "Mais papa, c’était juste une blague…", mais il me coupe : "Pas d’excuses. Suis-moi." Il me traîne dehors, dans le jardin, et là, je vois qu’il a déjà tout prévu. Quelques-unes des filles du quartier – celles qui étaient avec nous tout à l’heure, plus deux ou trois autres – sont là, assises sur des chaises pliantes, en train de discuter. La fille à la jupe est avec elles, un petit sourire en coin. Mon père claque des doigts : "Les filles, venez voir ça. Il veut jouer au malin ? On va lui donner une leçon."
Avant que je puisse protester, il m’attrape par le col et me dit : "Déshabille-toi. Tout de suite." Je rigole nerveusement : "Quoi ? T’es pas sérieux…" Mais son regard ne plaisante pas. "Tu préfères que je le fasse moi-même ?" Les filles commencent à glousser, et je sens la panique monter. Rouge de honte, je finis par obéir : mon t-shirt tombe, puis mon short, et je reste en boxer, les mains devant, en suppliant : "Ok, ça suffit, non ?" Mais mon père secoue la tête : "Non, tout. T’as humilié quelqu’un, tu vas comprendre ce que ça fait."
Sous les rires qui montent, j’enlève mon boxer, et me voilà nu, exposé devant sept ou huit filles qui s’étouffent de rire. "Oh, regardez-le, il fait moins le fier !" lance l’une d’elles. La fille à la jupe sort son téléphone et filme : "Alors, c’est qui qui rigole maintenant ?" Mon père me fait tourner sur moi-même, comme un trophée ridicule : "Voilà, montre bien à tout le monde." Je plaque mes mains devant, mais une des filles crie : "Hé, pas de triche, écarte les bras !" Et elles s’y mettent toutes, sifflant et lançant des vannes : "Pas terrible, ton matos !" "Il est rouge comme une écrevisse !"
Mon père finit par balancer mes fringues au bout du jardin : "Va les chercher, et réfléchis la prochaine fois avant de faire le malin." Je me précipite, mais avant que je puisse les atteindre, une des filles – je crois que c’est Clara – les attrape en courant et les lance à une autre, qui les passe à la fille à la jupe. Elles se les balancent comme un ballon, explosant de rire pendant que je saute en l’air, nu, pour essayer de les chopper. "Allez, plus haut, t’y es presque !" me nargue une voix. Mes sauts désespérés ne font qu’empirer les choses – je suis là, à découvert, sous leurs éclats de rire fracassants.
Et le pire arrive : le bruit attire du monde. Les voisins sortent sur leurs balcons, des gamins du quartier rappliquent, et même un mec avec son chien s’arrête pour mater. "C’est quoi ce bordel ?" lance quelqu’un. Bientôt, une petite foule se forme, et moi, je suis au centre, nu, à sautiller comme un idiot pendant que les filles continuent leur jeu. "Regardez-le, il danse pour nous !" crie une d’elles. La fille à la jupe filme toujours, ravie : "Ça, c’est la vraie humiliation !"
Finalement, mon père intervient : "Bon, ça suffit, rendez-lui ses affaires." Les filles jettent mes fringues dans l’herbe, et je me rhabille à la hâte sous les derniers rires et sifflets du quartier. En rentrant, humilié mais étrangement électrisé, j’entends encore leurs moqueries résonner dans ma tête.
commentaire n° :1 posté par : mecnupourfemme.erog.fr le: 10/03/2025 à 08h22
A poil dans le quartier

Il est tard, la nuit est tombée, et je rentre chez moi après une longue journée. Les rues sont calmes, presque désertes, éclairées seulement par quelques lampadaires vacillants. En tournant dans une petite ruelle sombre, j’entends des rires étouffés qui percent le silence. Au loin, je distingue un groupe de six jeunes filles, probablement âgées de 18 à 22 ans. Elles sont élégantes, attirantes, avec une assurance qui se lit dans leurs démarches et leurs sourires malicieux. Leurs vêtements ajustés et leurs regards pétillants ne laissent aucun doute : elles savent qu’elles attirent l’attention.
En m’approchant, je sens une tension dans l’air. Elles me remarquent et, en un instant, leurs rires deviennent plus forts, plus directs. L’une d’elles, une brune aux cheveux longs et au sourire narquois, s’avance vers moi. « Eh, toi ! T’as l’air perdu, non ? » dit-elle, pendant que les autres s’esclaffent. Je tente de répondre, mais avant que je puisse dire quoi que ce soit, elles m’entourent, leurs voix se mêlant dans un brouhaha moqueur.« Regardez-le, il croit qu’il peut passer comme ça ! » lance une autre, blonde et élancée, en croisant les bras avec un air supérieur. Elles commencent à me taquiner, d’abord gentiment, puis avec une audace croissante. « Allez, montre-nous ce que t’as ! » plaisante une troisième, et en un éclat de rire collectif, elles décident de pousser leur jeu plus loin. En un tourbillon de mouvements rapides et coordonnés, elles s’amusent à tirer sur mes vêtements. Mon manteau disparaît, puis ma chemise, et bientôt, je me retrouve complètement déshabillé, vulnérable sous leurs regards amusés.Les rires redoublent. « Oh, c’est tout ? » s’exclame l’une d’elles, feignant la déception avec une moue exagérée. Une autre renchérit : « T’es pas très impressionnant, hein ! » Elles me tournent autour, lançant des piques et des commentaires cinglants, leurs voix résonnant dans la ruelle vide. L’humiliation est totale, et pourtant, elles semblent s’amuser comme si c’était un jeu innocent pour elles. Pendant ce qui me semble une éternité – peut-être trois heures –, elles continuent leurs moqueries, me taquinant sans relâche, riant de ma gêne et de mon apparence.. L’humiliation est totale, et pourtant, elles ne s’arrêtent pas là. L’une d’elles sort un foulard de son sac et, avec un sourire diabolique, me bande les yeux. « Ça va être encore plus drôle comme ça »,dit-elle. Avant que je puisse protester, elles m’attrapent les bras, les tirent dans mon dos, et je sens du gros scotch s’enrouler autour de mes poignets, me laissant immobilisé.Elles rient de plus belle, ramassent mes vêtements éparpillés et les brandissent comme des trophées. « Bonne chance pour rentrer chez toi ! » lance la brune en s’éloignant avec les autres, leurs silhouettes disparaissant au coin de la rue. Me voilà seul, nu comme un ver, les yeux bandés et les mains attachées, en plein milieu de mon quartier où tout le monde me connaît. La panique monte. Comment vais-je me sortir de ce mauvais pas sans être vu par un voisin ou, pire, quelqu’un que je croise tous les jours ? La panique monte. Ne sachant que faire, je décide d’avancer à l’aveuglette, les pieds hésitants sur le sol froid, tâtonnant pour éviter les murs ou les obstacles invisibles.Soudain, au loin, j’entends des voix féminines et des rires qui se rapprochent. Mon cœur s’accélère. Sont-ce encore elles, revenues pour prolonger leur jeu cruel ? Ou pire, un autre groupe qui va découvrir ma situation ? Les sons se précisent, des éclats de voix joyeux mêlés de chuchotements amusés. Je m’arrête, figé, incapable de savoir si je dois continuer ou tenter de me cacher, alors que les rires semblent gagner en intensité, comme une vague prête à me submerger.et je me tiens là, nu, les yeux bandés, les mains scotchées dans le dos, perdu dans mon propre quartier. Chaque pas à l’aveuglette est un pari risqué, mes pieds frôlant le bitume froid tandis que la honte et l’adrénaline se disputent dans ma poitrine. Les rires des filles qui m’ont abandonné résonnent encore dans ma tête, mais soudain, un cri perçant déchire l’air : « Le voilà !! Regardez là-bas !! » Mon sang se glace. Des éclats de rire explosent au loin, nombreux, trop nombreux pour que je puisse deviner combien elles sont. Une vague de voix féminines, excitées et moqueuses, se rapproche rapidement.

Je tente d’accélérer, trébuchant presque, mais avant que je puisse faire trois pas, une main audacieuse s’abat sur mes fesses avec un grand « clac » retentissant. La douleur cuisante me fait sursauter, et un concert de rires hystériques éclate autour de moi. « T’as vu comme il a sauté ! » s’écrie une voix aiguë, suivie d’un chœur d’approbations. Elles sont là, tout près, et elles sont déchaînées, chaudes comme la braise, bien décidées à faire de moi leur jouet pour la nuit.
Une autre main, plus légère mais tout aussi insolente, me frôle le dos, puis une troisième me pousse doucement, me faisant vaciller. « Allez, tourne-toi, qu’on profite du spectacle ! » lance une voix rieuse. Je sens leurs présences m’encercler, leurs parfums sucrés et leurs chuchotements taquins emplissant l’air. L’une d’elles, avec une audace brûlante, s’approche assez près pour que je sente son souffle contre mon oreille. « T’es vraiment dans de beaux draps, hein ? » murmure-t-elle, avant de s’éloigner dans un éclat de rire.
Elles ne se contentent pas de se moquer. Une pluie de petites tapes et de pincements s’abat sur moi – mes bras, mes jambes, mes flancs – accompagnée de commentaires mordants. « Regardez ça, il tremble comme une feuille ! » s’exclame l’une d’elles. Une autre, avec une voix plus grave et provocante, ajoute : « Il pensait vraiment qu’on allait le laisser partir ? » Les rires fusent, et soudain, je sens des doigts agiles tirer sur le foulard qui me bande les yeux. « Allez, qu’il nous voie bien ! » propose une voix enthousiaste. Le tissu glisse, et la lumière des lampadaires, mêlée à leurs visages hilares, m’éblouit d’un coup.
Et là, horreur. Mes yeux s’ajustent, et je reconnais certaines d’entre elles. La brune aux cheveux longs, c’est Camille, qui vit deux maisons plus loin. La blonde élancée, c’est Lisa, la voisine d’en face que je croise tous les matins. Elles me fixent, leurs sourires moqueurs s’élargissant alors qu’elles réalisent que je les ai identifiées. « Oh, regardez, il sait qui on est maintenant ! » s’écrie Camille, pliée en deux de rire. Lisa s’avance, un éclat malicieux dans les yeux : « T’as l’air malin, hein, tout nu devant nous ! »
La honte me submerge, brûlante, insupportable. Ce ne sont pas des inconnues, ce sont des filles que je vois tous les jours, et elles s’amusent comme jamais, savourant chaque seconde de mon humiliation. « T’inquiète pas, on racontera ça à tout le quartier ! » lance une autre, et leurs rires redoublent, me clouant sur place alors que je prie pour que la terre m’engloutisse.
» s’écrie une voix aiguë, suivie d’un chœur d’approbations. Elles sont là, tout près, et elles sont déchaînées, chaudes comme la braise, bien décidées à faire de moi leur jouet pour la nuit.
Une autre main, plus légère mais tout aussi insolente, me frôle le dos, puis une troisième me pousse doucement, me faisant vaciller. « Allez, tourne-toi, qu’on profite du spectacle ! » lance une voix rieuse. Je sens leurs présences m’encercler, leurs parfums sucrés et leurs chuchotements taquins emplissant l’air. L’une d’elles, avec une audace brûlante, s’approche assez près pour que je sente son souffle contre mon oreille. « T’es vraiment dans de beaux draps, hein ? » murmure-t-elle, avant de s’éloigner dans un éclat de rire.
Elles ne se contentent pas de se moquer. Une pluie de petites tapes et de pincements s’abat sur moi – mes bras, mes jambes, mes flancs – accompagnée de commentaires mordants. « Regardez ça, il tremble comme une feuille ! » s’exclame l’une d’elles. Une autre, avec une voix plus grave et provocante, ajoute : « Faut lui donner une leçon, les filles, il croit qu’il peut s’en tirer comme ça ! » Elles rient, s’amusent, et je sens leurs doigts effleurer ma peau, jouer avec ma vulnérabilité comme des prédatrices savourant leur proie.
Puis, une idée semble germer dans leurs esprits survoltés. « Attachons-le quelque part ! » propose une voix enthousiaste. En un instant, je suis poussé en avant, guidé par des mains fermes et rieuses. Mes épaules cognent contre quelque chose de dur – un poteau, peut-être ? – et je sens des cordes ou des foulards s’enrouler autour de mon torse, me fixant solidement en place. Les rires montent en crescendo. « Parfait, maintenant il va vraiment rester là pour qu’on s’amuse ! » déclare l’une d’elles, et je comprends que leur jeu torride ne fait que commencer.
et je me tiens là, nu, les mains scotchées dans le dos, entouré de ces filles déchaînées qui viennent de m’arracher le bandeau des yeux. La lumière crue des lampadaires éclaire leurs visages, et la panique m’envahit quand je reconnais Camille, Lisa et d’autres voisines du quartier, hilares devant ma détresse. Leurs rires résonnent dans la ruelle, amplifiant ma honte alors qu’elles me tournent autour comme des prédatrices savourant leur victoire.
Soudain, Lisa sort son téléphone avec un sourire diabolique. « Attendez, faut immortaliser ça ! » dit-elle, et avant que je puisse protester, des flashs crépitent dans la nuit. Camille s’y met aussi, brandissant son appareil : « Souris, t’
commentaire n° :2 posté par : mecnupourfemme.erog.fr le: 10/03/2025 à 08h23

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